L'immobilier à Bordeaux
25 Nov

Les prix des appartements à Bordeaux restent stables !

Comment se portent les prix à Bordeaux ? Si vous souhaitez y acheter un appartement, la réponse à cette question peut peut-être vous intéresser !
MeilleursAgents publie la 75e édition de son Baromètre des prix de l’immobilier résidentiel à Paris, en Île-de-France et dans les dix plus grandes villes de France. Basé sur les promesses de vente signées entre le 1er et le 31 octobre 2015 qui se transformeront en actes authentiques dans les 3 prochains mois, ce baromètre est un indicateur avancé de l’évolution des prix de l’immobilier.

Que constate-t-on ?
Selon MeilleurAgents les prix continuent de baisser presque partout, car le nombre d’acheteurs, bien qu’en augmentation, reste trop faible par rapport à l’offre. « Au mois d’octobre 2015, les prix de l’immobilier résidentiel ancien sont restés orientés à la baisse : -0,1% à Paris comme en proche et grande banlieue et dans plusieurs villes de province (Marseille, Lyon, Nantes, Strasbourg et Montpellier), commente Sébastien de Lafond, Président et cofondateur de MeilleursAgents. La baisse peut même atteindre -0,9% en un mois à Toulouse. Sur 12 mois, seules deux villes (Nantes et Bordeaux) échappent à la baisse des prix (+1,9% et +0,0% respectivement) qui n’est, à l’évidence, pas terminée. »
Si le rythme moyen reste lent, l’érosion des prix est progressive et mesurable même si la demande commence à retrouver un peu de vigueur dans certaines villes.

La demande sera stimulée en 2016 grâce au PTZ dans l’ancien
Le Président de la République a annoncé l’élargissement du Prêt à Taux Zéro dans l’ancien pour faciliter le premier achat immobilier. Réintroduit timidement début 2015, le PTZ dans l’ancien était tellement restrictif (centre-bourgs ruraux, 25% de travaux minimum) qu’il n’a quasiment pas été utilisé. Dans sa version « débridée » d’avant 2012, le PTZ, trop généreux, avait sûrement contribué à la hausse excessive des prix à Paris entre 2009 et 2011. Cette mesure qui entrera en vigueur en janvier 2016 va dans le bon sens. Les taux d’intérêt bas et stables combinés à la baisse des prix augmentent progressivement le pouvoir d’achat des Français. La baisse du chômage annoncée pour 2016 sera le meilleur stimulant de la demande.

O.D. / Bazikpress © Asparuh Stoyanov

 

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